faisons la farandole et retrouvons nos amis les zonzons ici : http://adopteunzombie.blogspot.com
dimanche 21 octobre 2012
dimanche 15 juillet 2012
Pirates des Caraïbes 4 : La fontaine de jouvence
Le
film de Pirates avec des zombies dedans (si si)
Ce qui est bien avec Pirates des
Caraïbes 4, c’est qu’en plus d’avoir un Johnny Depp over-sexe (je suis une
victime) on a aussi des sirènes et des zombies. Tu dois être surpris, lecteur,
de trouver un film si bankable et pas tellement zombiesque sur ce blog et je
dois te dire que moi aussi, je suis surprise. Mais vu que j’ai bien aimé le
film et qu’en plus on a de vrais zombies vaudous, faut pas déconner. C’est
l’histoire de Jack Sparrow qui se fout dans la merde, mais ça on a l’habitude.
Non, je veux parler des zombies que l’on voit dans le film. Ce sont des mecs
très grands et très chauves qui ont été ensorcelés par Barbe Noire (le célèbre
pirate, arrh) qui sont visiblement amochés vu qu’ils ont la gueule à moitié
recousue. Mais ils s’en foutent car s’ils sentent pas une épée coincée dans
leur thorax, je pense qu’ils sont pas regardants sur une aiguille à coudre. Ce
qui est bien donc, c’est qu’on trouve ici la vraie origine du zombie, celui du
vaudou. Bon ils s’étendent pas cent ans sur le sujet parce que après tout la
star c’est Johnny Depp et puis c’est tout, c’est pour ça que mon article sera
rapide à lire parce que moi non plus je vais pas m’étendre dessus. Je pourrais
meubler en disant que Penelope Cruz est moyennement convaincante dans son rôle
de femme pirate et que des fois on voit que celui qui a une jambe de bois ben
en fait il en a pas, mais on n’est pas là pour déconner.
dimanche 8 juillet 2012
The Walking Dead sur PS3
Le jeu de Playstation que j'ai mis huit ans
à télécharger, mais ça c'est parce que j'ai une connexion de merde.
Ce qui est bien quand on est une geek fan de Walking Dead c'est de trouver un jeu vidéo Walking Dead. Bien sûr, certaines mauvaises langues (dont je fais partie) vont dire "ouais, c'est trop bidon, ça surfe sur la vague de succès de la franchise, bientôt on va trouver des sent-bon pour bagnole odeur macchabé siglés Walking Dead et gnagnagna". C'est fort probable soyons honnêtes, mais comment OH GRAND COMMENT pourrais-je résister à un jeu vidéo avec des zonzons dedans ? Je te le dis lecteur, je ne peux pas. Bref. Dans ce jeu on se retrouve donc au moment de l'apocalypse, toujours aux USA hein, c'est bien connu l'apocalypse elle est intéressante que là à cause des guns et des grosses voitures. En revanche, on ne joue pas avec les personnages principaux du comic book (car c'est du comics que le jeu est tiré et non de la série, va pas faire ton noob), même si certains d'etre eux font une apparition éclair. Le but étant de survivre, logique, mais attention, point de baston ou d'abbatage à l'arme lourde. Nah. Tu pointes, tu cliques et tu mattes. Ca peut faire peur dit comme ça, mais perso, ça m'a rappellé desjeux que j'ai adorés, tels que Les Chevaliers de Baphomet ou plus récemment, Heavy Rain. De plus, le graphisme est original, type Comic Book (bah oui), simple et épuré. Le jeu est divisé en 5 épisodes, un sortant chaque mois sur la plate forme detéléchargement. Pour le moment je n'ai joué qu'à la première partie (que j'ai terminée) et je suis à la bourre pour la deuxième et la troisème, c'est pas sérieux. En tous cas, je vous conseille ce petit bout de zonzon si vous aimez tâter de la manette, c'est pas cher et c'est sympa. C'est ça qui est bien avec le jeu vidéo Walking Dead.
mercredi 20 juin 2012
La Cabane dans les bois
Le
film qui m’a fait voir les licornes autrement
Ce qui est bien avec « La
Cabane dans les bois » c’est que j’ai réussi à me protéger d’un quelconque
spoiler en reniant tous mes sites préférés, tout ce que je savais, c’est qu’il
y avait des zonzons dedans et c’était largement suffisant pour me motiver à affronter
le supplice du cinéma. Oui parce que j’aime pas trop aller au cinéma. Bref. Ce
film c’est le genre de film qui commence normalement et puis après tu te prends
une méchante claque dans la tronche, du genre «mais qu’est-ce que je suis en
train de regarder, là ? ». En plus j’y suis allée avec une amie qui
avait un peu les foies, parce qu’elle a tout le temps les foies au cinéma,
c’est bien pour moi, ça me fait passer pour une nana courageuse. Enfin
« frigide » d’après ses propres mots. Effectivement, je suis frigide
devant un film d’horreur, voire sadique (y’en a qu’une qui s’esclaffait pendant
les scènes dégueulasses). Assez parlé de moi, parlons du film mais pas trop, au
cas où certains voudraient encore le voir on sait jamais. Donc au début ça commence
par un film de slasher genre normal, avec quelques interrogations quand même et
puis surtout vachement de clichés. Donc du vu et du revu qui m’a fait un peu
tomber le nez dans mon pop-corn, jusqu’au virement de situation de ouf qui m’a
bien réveillée et croyez-moi devant le
genre de scène auxquelles on assiste, à certains moments je me sentais plus.
J’ai crié au génie, oui je le dis haut et fort, certaines scènes sont juste
énormes. J’ai été marquée par la réplique anthologique du Samy de
service : « j’ai dû achever ce type avec une truelle ! ».
Mais ça c’est parce que j’ai un humour de merde. Et les zombies alors ?
Oui, y’en a, des bien dégueulasses même, avec une jolie petite scène de sortage
de tombe (oui j’aime bien les sortages de tombe) et même qu’ils sont juste
impossible à tuer. « La Cabane dans les bois » c’est bien et en plus
y’a une licorne dedans.
jeudi 7 juin 2012
Ma vie posthume
Une
bédé avec une mémé qui en a dedans
C’est qui est bien dans «Ma vie
posthume » c’est que d’abord c’est une bédé à la française parce que j’ai
pas lu de bédé à la française depuis mon dernier Boule & Bill quand j’avais 11 ans. En plus
ça parle de zombies mais de façon originale, plein d’humour et de poésie aussi
parfois. C’est l’histoire d’une mémé relou –comme toutes les mémés- qui tombe
de son escabeau alors qu’elle essayait de pécho ses clopes. Elle se réveille,
pensant avoir fait une mauvaise chute, sauf qu’elle réalise un peu plus tard
qu’en fait non, elle est non seulement morte et en plus à cause d’une balle
dans le thorax. Ce qui lui fout sensiblement le seum. Du coup, Emma Doucet –
c’est le nom de la mémé- décide d’enquêter, parce que se décomposer tout en
chassant les mouches qui lui tournent autour, au bout d’un moment, ça gave. Les
dessins sont charmants comme tout, signés par Zanzim, on voyage dans le temps
et les pensées d’une mamie nostalgique du bon vieux temps, qui se remémore sa
vie d’antan et se souvient des gens qui lui manquent, tout en essayant de
comprendre pourquoi, bon sang de bon soir, on l’a assassinée. C’est ça qui est
bien dans « Ma vie Posthume ».
vendredi 25 mai 2012
Simetierre
Le
film avec un tout petit zombie trop mignon dedans
Ce qui est bien avec Simetierre,
c’est que c’est l’adaptation d’un livre de King qui m’a coupé de toute vie
sociale pendant cinq jours et qui m’a
privée de sommeil pendant des semaines, jusqu’à ce que je réalise que j’avais
peu de chances de vivre sur un cimetière indien Micmac mais bon on sait jamais parce
que je suis assez poisseuse quand même. En gros, c’est l’histoire de l’échec
d’une éducation, où des parents bien trop occupés à s’occuper d’une gamine
chiante, possessive et en plus médium (comme à peu près 99% des chiards chez
King) qu’ils en oublient leur plus petit, Gage, un gamin qui se contente de
dire « oh oh » et de se promener sur la route. Le fait est qu’on
assiste ici à l’effondrement d’un équilibre – familial, physique et
psychologique –causé par la mort d’un enfant. Cette phrase semble sortie tout
droit de« psychologie magazine ». J’aime bien faire mon intelligente.
Alors pendant le film des fois tu te dis que le mec est très con, que la nana
est exécrable, que la gamine est insupportable et puis pourquoi cet enfant n’a donc jamais de
pantalon ? Et si tu aimes les chats, après ce film tu vas vraiment
commencer à les trouver dégueulasses et pervers, du style à te jeter un rat
crevé dans ton bain et à manger un steak cru par terre (non mais franchement,
qui a déjà vu un chat manger un pavé de viande comme ça ? Pas moi, en plus
mon chat est végé). Mais maintenant les chats gris me font peur, tout comme les
enfants blonds aux airs angéliques. Parce que parlons-en de cet enfant, qui au
début du film est toujours fourré dans les bras de sa mère ne sachant pas
aligner trois mots, comment, mais bon sang, comment se fait-il qu’il sache ce
qu’est un scalpel et surtout où en trouver ? Comment il arrive à faire
pousser de la mousse sur les murs ? Enfin bref, ce qui est bien avec
Simetierre, c’est que tu deviens schizo : un coup t’es en colère puis
après tu pleures mais en fait tu trouves ça dégueulasse après non, finalement
tu pleures et puis t’as la trouille après tu rigoles et en fait après t’as
re-peur et puis t’es contente parce qu’il meurt mais tu pleures quand même
parce que bon le pauvre quand même. C’est ça qui est bien avec Simetierre.
samedi 19 mai 2012
Guide de Survie en territoire zombie
Le
livre avec des conseils pour mourir moins vite en cas d’apocalypse
C’est qui est bien avec Guide de
survie en territoire zombie, c’est que déjà c’est un livre de Max Brooks, le
fils de Mel Brooks qui a fait des films vachement biens comme « La folle
histoire de l’espace » ou « la folle histoire du monde » enfin
bref, que des histoires folles. Et donc Max Brooks a écrit un livre pour nous
apprendre à survivre pendant une invasion de zombie, dans la mesure où bien sûr
tu n’es toi-même pas un zombie, sinon c’est trop facile. Le livre est divisé en
deux grosses parties. Dans la première, on a tout un descriptif sur des armes,
des cachettes et sur tout un tas d’autres choses fort intéressantes dans la
mesure où c’est faisable en France, on oublie donc la partie flingues, mais
j’ai retenu qu’il fallait que j’aille chez Casto acheter un pied de biche on
sait jamais. Dans l’autre partie, c’est plein de récits sur les différentes
attaques zombies répertoriées dans le monde (pas pour de vrai, hein, quoi que
des fois on se demande) le tout dans un ordre chronologique et c’est vachement
bien trouvé. Tout cela a l’air bien beau, sauf que j’ai un petit problème avec
l’écriture de Max Brooks (ou celle de son traducteur), c’est-à-dire que je me
suis ennuyée comme un rat crevé quand
j’ai lu ce livre, un peu comme quand j’étais obligée de lire du Camus à l’école
alors que j’étais plus portée sur Despentes, mais ça c’était ma période dark. De
pas le fait, j’ai comme qui dirait survolé ce livre, lu ce qui m’intéressait
dans le manuel et pris la liberté de sauter des lignes dans les récits. Du coup
je pense que si on se fait envahir par les morts vivants, je serai un peu dans
la merde, mais pas plus que mes copines qui n’y connaissent rien zombies. De toutes
façons, moi je m’en fous, j’ai le manuel
des Castors Juniors. Mais sinon Guide de survie en territoire zombie c’est
bien.
Inscription à :
Articles (Atom)