dimanche 15 juillet 2012

Pirates des Caraïbes 4 : La fontaine de jouvence


Le film de Pirates avec des zombies dedans (si si)

Ce qui est bien avec Pirates des Caraïbes 4, c’est qu’en plus d’avoir un Johnny Depp over-sexe (je suis une victime) on a aussi des sirènes et des zombies. Tu dois être surpris, lecteur, de trouver un film si bankable et pas tellement zombiesque sur ce blog et je dois te dire que moi aussi, je suis surprise. Mais vu que j’ai bien aimé le film et qu’en plus on a de vrais zombies vaudous, faut pas déconner. C’est l’histoire de Jack Sparrow qui se fout dans la merde, mais ça on a l’habitude. Non, je veux parler des zombies que l’on voit dans le film. Ce sont des mecs très grands et très chauves qui ont été ensorcelés par Barbe Noire (le célèbre pirate, arrh) qui sont visiblement amochés vu qu’ils ont la gueule à moitié recousue. Mais ils s’en foutent car s’ils sentent pas une épée coincée dans leur thorax, je pense qu’ils sont pas regardants sur une aiguille à coudre. Ce qui est bien donc, c’est qu’on trouve ici la vraie origine du zombie, celui du vaudou. Bon ils s’étendent pas cent ans sur le sujet parce que après tout la star c’est Johnny Depp et puis c’est tout, c’est pour ça que mon article sera rapide à lire parce que moi non plus je vais pas m’étendre dessus. Je pourrais meubler en disant que Penelope Cruz est moyennement convaincante dans son rôle de femme pirate et que des fois on voit que celui qui a une jambe de bois ben en fait il en a pas, mais on n’est pas là pour déconner.

dimanche 8 juillet 2012

The Walking Dead sur PS3


Le jeu de Playstation que j'ai mis huit ans à télécharger, mais ça c'est parce que j'ai une connexion de merde.

Ce qui est bien quand on est une geek fan de Walking Dead c'est de trouver un jeu vidéo Walking Dead. Bien sûr, certaines mauvaises langues (dont je fais partie) vont dire "ouais, c'est trop bidon, ça surfe sur la vague de succès de la franchise, bientôt on va trouver des sent-bon pour bagnole odeur macchabé siglés Walking Dead et gnagnagna". C'est fort probable soyons honnêtes, mais comment OH GRAND COMMENT pourrais-je résister à un jeu vidéo avec des zonzons dedans ? Je te le dis lecteur, je ne peux pas. Bref. Dans ce jeu on se retrouve donc au moment de l'apocalypse, toujours aux USA hein, c'est bien connu l'apocalypse elle est intéressante que là à cause des guns et des grosses voitures. En revanche, on ne joue pas avec les personnages principaux du comic book (car c'est du comics que le jeu est tiré et non de la série, va pas faire ton noob), même si certains d'etre eux font une apparition éclair. Le but étant de survivre, logique, mais attention, point de baston ou d'abbatage à l'arme lourde. Nah. Tu pointes, tu cliques et tu mattes. Ca peut faire peur dit comme ça, mais perso, ça m'a rappellé desjeux que j'ai adorés, tels que Les Chevaliers de Baphomet ou plus récemment, Heavy Rain. De plus, le graphisme est original, type Comic Book (bah oui), simple et épuré. Le jeu est divisé en 5 épisodes, un sortant chaque mois sur la plate forme detéléchargement. Pour le moment je n'ai joué qu'à la première partie (que j'ai terminée) et je suis à la bourre pour la deuxième et la troisème, c'est pas sérieux. En tous cas, je vous conseille ce petit bout de zonzon si vous aimez tâter de la manette, c'est pas cher et c'est sympa. C'est ça qui est bien avec le jeu vidéo Walking Dead.


mercredi 20 juin 2012

La Cabane dans les bois


Le film qui m’a fait voir les licornes autrement

Ce qui est bien avec « La Cabane dans les bois » c’est que j’ai réussi à me protéger d’un quelconque spoiler en reniant tous mes sites préférés, tout ce que je savais, c’est qu’il y avait des zonzons dedans et c’était largement suffisant pour me motiver à affronter le supplice du cinéma. Oui parce que j’aime pas trop aller au cinéma. Bref. Ce film c’est le genre de film qui commence normalement et puis après tu te prends une méchante claque dans la tronche, du genre «mais qu’est-ce que je suis en train de regarder, là ? ». En plus j’y suis allée avec une amie qui avait un peu les foies, parce qu’elle a tout le temps les foies au cinéma, c’est bien pour moi, ça me fait passer pour une nana courageuse. Enfin « frigide » d’après ses propres mots. Effectivement, je suis frigide devant un film d’horreur, voire sadique (y’en a qu’une qui s’esclaffait pendant les scènes dégueulasses). Assez parlé de moi, parlons du film mais pas trop, au cas où certains voudraient encore le voir on sait jamais. Donc au début ça commence par un film de slasher genre normal, avec quelques interrogations quand même et puis surtout vachement de clichés. Donc du vu et du revu qui m’a fait un peu tomber le nez dans mon pop-corn, jusqu’au virement de situation de ouf qui m’a bien réveillée et croyez-moi devant  le genre de scène auxquelles on assiste, à certains moments je me sentais plus. J’ai crié au génie, oui je le dis haut et fort, certaines scènes sont juste énormes. J’ai été marquée par la réplique anthologique du Samy de service : « j’ai dû achever ce type avec une truelle ! ». Mais ça c’est parce que j’ai un humour de merde. Et les zombies alors ? Oui, y’en a, des bien dégueulasses même, avec une jolie petite scène de sortage de tombe (oui j’aime bien les sortages de tombe) et même qu’ils sont juste impossible à tuer. « La Cabane dans les bois » c’est bien et en plus y’a une licorne dedans.

jeudi 7 juin 2012

Ma vie posthume

Une bédé avec une mémé qui en a dedans

C’est qui est bien dans «Ma vie posthume » c’est que d’abord c’est une bédé à la française parce que j’ai pas lu de bédé à la française depuis mon dernier  Boule & Bill quand j’avais 11 ans. En plus ça parle de zombies mais de façon originale, plein d’humour et de poésie aussi parfois. C’est l’histoire d’une mémé relou –comme toutes les mémés- qui tombe de son escabeau alors qu’elle essayait de pécho ses clopes. Elle se réveille, pensant avoir fait une mauvaise chute, sauf qu’elle réalise un peu plus tard qu’en fait non, elle est non seulement morte et en plus à cause d’une balle dans le thorax. Ce qui lui fout sensiblement le seum. Du coup, Emma Doucet – c’est le nom de la mémé- décide d’enquêter, parce que se décomposer tout en chassant les mouches qui lui tournent autour, au bout d’un moment, ça gave. Les dessins sont charmants comme tout, signés par Zanzim, on voyage dans le temps et les pensées d’une mamie nostalgique du bon vieux temps, qui se remémore sa vie d’antan et se souvient des gens qui lui manquent, tout en essayant de comprendre pourquoi, bon sang de bon soir, on l’a assassinée. C’est ça qui est bien dans « Ma vie Posthume ».

vendredi 25 mai 2012

Simetierre


Le film avec un tout petit zombie trop mignon dedans

Ce qui est bien avec Simetierre, c’est que c’est l’adaptation d’un livre de King qui m’a coupé de toute vie sociale pendant cinq jours  et qui m’a privée de sommeil pendant des semaines, jusqu’à ce que je réalise que j’avais peu de chances de vivre sur un cimetière indien Micmac mais bon on sait jamais parce que je suis assez poisseuse quand même. En gros, c’est l’histoire de l’échec d’une éducation, où des parents bien trop occupés à s’occuper d’une gamine chiante, possessive et en plus médium (comme à peu près 99% des chiards chez King) qu’ils en oublient leur plus petit, Gage, un gamin qui se contente de dire « oh oh » et de se promener sur la route. Le fait est qu’on assiste ici à l’effondrement d’un équilibre – familial, physique et psychologique –causé par la mort d’un enfant. Cette phrase semble sortie tout droit de« psychologie magazine ». J’aime bien faire mon intelligente. Alors pendant le film des fois tu te dis que le mec est très con, que la nana est exécrable, que la gamine est insupportable et puis  pourquoi cet enfant n’a donc jamais de pantalon ? Et si tu aimes les chats, après ce film tu vas vraiment commencer à les trouver dégueulasses et pervers, du style à te jeter un rat crevé dans ton bain et à manger un steak cru par terre (non mais franchement, qui a déjà vu un chat manger un pavé de viande comme ça ? Pas moi, en plus mon chat est végé). Mais maintenant les chats gris me font peur, tout comme les enfants blonds aux airs angéliques. Parce que parlons-en de cet enfant, qui au début du film est toujours fourré dans les bras de sa mère ne sachant pas aligner trois mots, comment, mais bon sang, comment se fait-il qu’il sache ce qu’est un scalpel et surtout où en trouver ? Comment il arrive à faire pousser de la mousse sur les murs ? Enfin bref, ce qui est bien avec Simetierre, c’est que tu deviens schizo : un coup t’es en colère puis après tu pleures mais en fait tu trouves ça dégueulasse après non, finalement tu pleures et puis t’as la trouille après tu rigoles et en fait après t’as re-peur et puis t’es contente parce qu’il meurt mais tu pleures quand même parce que bon le pauvre quand même. C’est ça qui est bien avec Simetierre.

samedi 19 mai 2012

Guide de Survie en territoire zombie

Le livre avec des conseils pour mourir moins vite en cas d’apocalypse

C’est qui est bien avec Guide de survie en territoire zombie, c’est que déjà c’est un livre de Max Brooks, le fils de Mel Brooks qui a fait des films vachement biens comme « La folle histoire de l’espace » ou « la folle histoire du monde » enfin bref, que des histoires folles. Et donc Max Brooks a écrit un livre pour nous apprendre à survivre pendant une invasion de zombie, dans la mesure où bien sûr tu n’es toi-même pas un zombie, sinon c’est trop facile. Le livre est divisé en deux grosses parties. Dans la première, on a tout un descriptif sur des armes, des cachettes et sur tout un tas d’autres choses fort intéressantes dans la mesure où c’est faisable en France, on oublie donc la partie flingues, mais j’ai retenu qu’il fallait que j’aille chez Casto acheter un pied de biche on sait jamais. Dans l’autre partie, c’est plein de récits sur les différentes attaques zombies répertoriées dans le monde (pas pour de vrai, hein, quoi que des fois on se demande) le tout dans un ordre chronologique et c’est vachement bien trouvé. Tout cela a l’air bien beau, sauf que j’ai un petit problème avec l’écriture de Max Brooks (ou celle de son traducteur), c’est-à-dire que je me suis ennuyée comme un rat crevé  quand j’ai lu ce livre, un peu comme quand j’étais obligée de lire du Camus à l’école alors que j’étais plus portée sur Despentes, mais ça c’était ma période dark. De pas le fait, j’ai comme qui dirait survolé ce livre, lu ce qui m’intéressait dans le manuel et pris la liberté de sauter des lignes dans les récits. Du coup je pense que si on se fait envahir par les morts vivants, je serai un peu dans la merde, mais pas plus que mes copines qui n’y connaissent rien zombies. De toutes façons,  moi je m’en fous, j’ai le manuel des Castors Juniors. Mais sinon Guide de survie en territoire zombie c’est bien.