lundi 26 mars 2012

La Meute

Le film avec Benjamin Biolay le fils à maman dedans.

Bon avant toute chose je dois préciser que je suis amoureuse de Benjamin Biolay, alors quand j’ai su qu’il avait tourné dans un film de zonzons, je me suis plus sentie et j’ai foncé direct. Je ferme la parenthèse que j’avais ouverte sans prévenir.
C’est l’histoire de Charlotte, une nana tête à claques qui conduit une voiture en bois en écoutant de la musique de camionneur, le tout en exhibant ses tatouages faits au BIC devant la caméra pour qu’on comprenne bien qu’elle est badass’.
Donc cette Charlotte, rôde sur les routes nationales de bled de pecnos, en bled de pecnos histoire de nous vend du rêve. Aimant l’amour de risque (badass’ bis), elle prend en stop un mec qui aurait assez d’huile dans les cheveux pour faire une vinaigrette et qui en plus tire une gueule de trois kilomètres. Le genre de type qui nous inspire confiance,  quoi.
Et c’est ainsi que commence un film qui parait bien long et bien sale, dans une ambiance bien glauque devant mon ennui bien persistant. Les zombies se font attendre !
Bon, je ne vais pas taper sur le film car bien d’autres avant moi l’ont déjà fait, même si j’ai trouvé des moments longs, pas mal d’incohérences, Biolay totalement mono-expressif (après tout c’est un chanteur). Le plus gros point négatif étant pour moi le son : d’une part j’ai trouvé la bande son pas poussée du slip, mais en plus je ne comprenais rien aux dialogues tellement certains acteurs mangent leurs mots (merci les sous-titres).
Il y a quand même quelques détails qui font que malgré tout, ce film est quand même à voir :
1/ Une Yolande Moreau qui joue très bien la vieille psychopathe un peu co-conne mais pas tant que ça en fait. Des répliques qui tuent, un look de Raymonde Bidochon très crédible (avec un tablier en côte de maille s’il vous plaît) et puis un goût prononcé pour la barbaque, tels sont les ingrédients d’un personnage complètement barré qui porte pratiquement le film sur ses épaules.
2/ Des zonzons assez particuliers, au look assez spécial avec leurs mandibules et leurs grosses têtes, ces anciens mineurs l’on visiblement en travers d’avoir été enterrés vivants. Une vraie scène de zonblards qui sortent de terre, ça faisait un bail que j’en avais pas vu.  Trop peu à l’écran et pas assez développés à mon goût, ces zombies auraient mérité un peu plus de place dans le film.
3/ Le petit garçon enveloppé dans le papier bulle qui se jette sur les murs et puis qui finit tabassé par un motard en arrière-plan. Je voudrais rendre hommage à ce gosse qui en a.
Bref : pas incontournable, pas indispensable, mais à voir quand même histoire de voir des zonzons à la française.

vendredi 23 mars 2012

Trailer Dead Island

Un trailer avec  des zombies en bikini dedans.

Pour confirmer ma réputation de "Madame 2 trains de retard", voici le Trailer du Jeu Dead Island. Ca fait une semaine que je suis scotchée à ce jeu (enfin dès que j'ai du temps pour flirter avec ma PS3) et je l'admet : je suis accroc. Je le vis bien, mon entourage moins (tout le monde n'est pas insensible aux cris, à la violence et au sang).

J'attends biens sûr de terminer le jeu pour vous en parler plus en détail !


Pas besoin de préciser que j'ai failli pleurer comme un veau devant ce trailer, mais c'est hormonal, rassurez-vous.

jeudi 22 mars 2012

Je suis une légende


Un film avec Will Smith qui récite les dialogues de Shrek dedans.

Des monstres qui ne sont pas des zonzons à mes yeux.
J'ai quand même pleuré à un moment et je l'assume. Difficilement, mais je l'assume. C'est hormonal, je vous rassure.

lundi 19 mars 2012

Zombies

Un film avec des enfants peints en vert dedans (et ils sont pas contents)
C’est l’histoire d’une mère et de ses deux filles qui, après le décès du père de la famille, se voient obliger d’emménager dans une baraque en ruine, située en plein milieux des bois tout en haut d’une montagne. Déjà que la baraque est dans le trou du cul du monde, il faut en plus qu’elle se situe juste à côté d’une mine où sont morts des dizaines de pauvres n’enfants mineurs.
Dit comme ça, on sait d’emblée que ça pue et que les trois cocottes feraient mieux de refuser cet héritage, ne serait-ce que pour éviter les nombreuses maladies que peut véhiculer une telle insalubrité dans une baraque : du sang sur la porte ? Des matelas couverts de suie ? Un rat dans les Kellog’s ? C’est pas grave, manière dehors y’a des mini-zombies qui veulent leur péter les dents à coups de pelles.
 « Bonjour l’introduction avec les pauvres n’enfants mineurs, tiens, assieds-toi donc à côté du cliché du suspense à trois balles accentué par une musique qui fait peur. On attend la petite fille blonde qui parle aux morts et on peut commencer le film d’horreur, mais pas trop gore hein, on n’est pas des porcs quand même. »


Non mais sans déconner, des zombies de 1m20 qui foutent le bordel dans une bourgade peuplée uniquement d’un décérébré, d’un maniaque et d’un plombier (sans oublier l’épicier un peu pédo), en gueulant dans les bois et en cassant les vitres des voitures à coups de pioche… Si ça ne tenait qu’à moi, je leur filerai une bonne raclée et au cimetière sans dessert !
Bref, un film aux rebondissements prévisibles à 10km, un méchant qu’on sait pas pourquoi il est méchant (mais il est sexe alors ça va), des zombies à deux balles qui devaient s’ennuyer après le tournage des choristes et une histoire à m’en faire décéder d’ennui. En plus court : ce film est grossier et cliché.


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